lundi 14 novembre 2016

Le rêve incroyable d'Alfred

Cette histoire se déroule dans la taïga, une forêt dans le Nord de l’Amérique et de l’Eurasie. Il y a des millions d’années, mon arrière, arrière, arrière, arrière grand-oncle se nommait Alfred. À six ans, Alfred jouait beaucoup avec sa petite sœur Marguerite, ils appréciaient énormément faire des périples dans la forêt de la taïga. Un jour, Alfred a voulu aller dans les élévations pour jouer à cache-cache avec sa sœur. Alors, ils sont partis sans avertir personne.


Rendus dans les bois, les deux enfants avaient déterminé que ce serait ; la jeune fille qui commencerait à compter «  1-2-3-4-5-6-7-8-9-12-6-30-34-80, j’ai fini, caché, blessé, je vais te déterrer! ». Marguerite avait de la  difficulté à trouver son grand frère, alors elle alla chercher plus loin. Marguerite se perd dans les tas de feuilles tombés des arbres. Alfred sortit des feuilles pour faire un saut à sa sœur. La jeune fille renfrognée lui donna un coup bien placé dans le tibia de son frère. Les deux gamins remarquaient qu’ils étaient perdus. Alfred annonça à sa sœur qu’il fallait marcher pour retrouver le chemin du sentier. Les deux perdus marchaient maintenant depuis trois heures. Marguerite trébuche dans les feuilles mouillées, elle était épuisée d’arpenter entre les conifères. La nuit tomba très vite. À ce moment-là, ils étaient contraints de faire un abri pour se protéger. Ils avaient construit l’abri en peu de temps et après 15 minutes les enfants dormaient déjà. À leurs réveils, une grosse et une petite touffe de poils dormait sur le côté de leur abri. La première avait une robe phénoménale couleur fauve et la deuxième, qui était plus petite, portait une fourrure grise tachetée. Après trois minutes d’observation, le plus petit s’est levé et a miaulé. Le petit son aigu a réveillé l’autre bête. Alfred remarqua que les deux animaux étaient des félins. Marguerite commença à crier, le petit félin était terrifié du son que la jeune fille avait poussé. Surpris, le plus grand des deux fauves se mit au-dessus du petit. Le plus grand félin était un caracal et l’autre un ocelot. Alfred et sa sœur étaient émerveillés par ces deux fauves phénoménaux. Les deux compagnons avaient l’air d’être des amis. Quand les enfants ont constaté qu’ils n’étaient pas dangereux, ils ont décidé de leur attribuer un nom. Le caracal Patou et l’ocelot Borlo. Marguerite avança pour toucher à Borlo et il lui permit de le flatter. Ensuite Patou approcha d’Alfred pour se faire flatter lui aussi. Dix minutes passèrent et les deux enfants et les deux félins devinrent de formidables amis. Marguerite décida de faire de l’équitation sur le caracal et elle fit un énorme câlin, avec sa fourrure réconfortante. Borlo saute dans les bras du garçon et Alfred sentit quelque chose lui licher la joue.

Alfred se réveilla avec son chiwawa Garneau, dans les bras. Il se rendit compte qu’il avait fait un merveilleux et formidable rêve.




                                                                                         Maylia


   

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