Cette histoire se déroule dans la taïga, une forêt
dans le Nord de l’Amérique et de l’Eurasie. Il y a des millions d’années, mon
arrière, arrière, arrière, arrière grand-oncle se nommait Alfred. À six ans, Alfred jouait beaucoup avec sa petite sœur Marguerite, ils appréciaient
énormément faire des périples dans la forêt de la taïga. Un jour, Alfred a voulu aller
dans les élévations pour jouer à cache-cache avec sa sœur. Alors, ils sont partis
sans avertir personne.
Rendus dans les bois, les deux enfants avaient déterminé que ce serait ; la jeune fille qui commencerait à compter «
1-2-3-4-5-6-7-8-9-12-6-30-34-80, j’ai fini, caché, blessé, je vais te
déterrer! ». Marguerite avait de la
difficulté à trouver son grand frère, alors elle alla chercher plus
loin. Marguerite se perd dans les tas de feuilles tombés des arbres. Alfred
sortit des feuilles pour faire un saut à sa sœur. La jeune fille renfrognée lui
donna un coup bien placé dans le tibia de son frère. Les deux gamins
remarquaient qu’ils étaient perdus. Alfred annonça à sa sœur qu’il fallait
marcher pour retrouver le chemin du sentier. Les deux perdus marchaient
maintenant depuis trois heures. Marguerite trébuche dans les feuilles
mouillées, elle était épuisée d’arpenter entre les conifères. La nuit tomba
très vite. À ce moment-là, ils étaient contraints de faire un abri pour se
protéger. Ils avaient construit l’abri en peu de temps et après 15 minutes les
enfants dormaient déjà. À leurs réveils, une grosse et une petite touffe de
poils dormait sur le côté de leur abri. La première avait une robe
phénoménale couleur fauve et la deuxième, qui était plus petite, portait une
fourrure grise tachetée. Après trois minutes d’observation, le plus petit s’est
levé et a miaulé. Le petit son aigu a réveillé l’autre bête. Alfred remarqua
que les deux animaux étaient des félins. Marguerite commença à crier, le petit
félin était terrifié du son que la jeune fille avait poussé. Surpris, le plus
grand des deux fauves se mit au-dessus du petit. Le plus grand félin était un
caracal et l’autre un ocelot. Alfred et sa sœur étaient émerveillés par ces
deux fauves phénoménaux. Les deux compagnons avaient l’air d’être des amis.
Quand les enfants ont constaté qu’ils n’étaient pas dangereux, ils ont décidé
de leur attribuer un nom. Le caracal Patou et l’ocelot Borlo. Marguerite avança
pour toucher à Borlo et il lui permit de le flatter. Ensuite Patou approcha
d’Alfred pour se faire flatter lui aussi. Dix minutes passèrent et les deux
enfants et les deux félins devinrent de formidables amis. Marguerite décida de
faire de l’équitation sur le caracal et elle fit un énorme câlin, avec sa
fourrure réconfortante. Borlo saute dans les bras du garçon et Alfred sentit
quelque chose lui licher la joue.
Alfred se réveilla avec son chiwawa Garneau, dans les
bras. Il se rendit compte qu’il avait fait un merveilleux et formidable rêve.
Maylia
bravo pour ton histoire je la trouve original !!!
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